Cars 2 (2011)

Cars 2

Réalisé par John Lasseter, Brad Lewis

Avec Owen Wilson, Michael Caine, Emily Mortimer
Pays:  États-Unis
Genres : Aventure, Animation, Comédie, Familial
Durée : 1 h 46 min
Année de production : 2011
7.75/10

Alors que j’ai réajusté la critique de Cars à deux fois, me voilà avec un peu de retard par rapport à la sortie ciné sur la critique de cette suite que je me suis fais agréablement dans mon home-cinéma et que j’avais loupé au cinéma (que je boude en ce moment). Et ben comme tous les Pixar ca envoi du lourd. Les couleurs vous sautent aux yeux et niveaux sons c’est pas mal non plus, même si on est loin sur ses deux points de Speed Racer qui niveau colorimétrie, son et course est l’apothéose de ce qu’on fait en matière de sport mécanique.

Pour continuer le comparatif avec Speed Racer, j’ai trouvé que Cars avait quelques similitudes sur les terrains de course. On passe du bitume, en passant par du sable avec des véhicules farfelues passant de la voiture, au bateau ou à l’avion. Mais même avec ça c’est moins virevoltant même si l’introduction nous place rapidement dans notre siège.

Dans cet opus, Martin le pote de Flash McQueen est beaucoup plus mis en avant que le premier film, en héros malgré lui. Et je dois dire que c’est bien sympa car il apporte une touche d’humour assez importante. Le film devient donc moins chiant que le premier (que j’aime attention!) et s’axe sur plusieurs personnages qui gravite autour de Flash. Je regrette de ne pas avoir sur le bluray la série dérivée de Cars Toons qui selon l’affiche met en avant le duo Martin/Flash.

Alors chaque Pixar apporte une nouvelle touche graphique. Ici c’est les décors qui sont mis à l’honneur. Que ce soit au Japon (les lumières de la ville) ou l’Italie (architecture) on a des décors de toute beauté, sans lunettes on à l’impression qu’ils ressortent de l’image. les ombres et textures sont incroyables. Ca m’étonne même pas qu’on tourne de moins en moins en décor réel vu qu’en CGI on à l’aspect que l’on désire dans la théorie. Le circuit ainsi que la ville de Porto Corsa (Italie) m’a fait penser au mythique circuit de Monaco, il manquait juste le tunnel (ce qui aurait graphiquement un point à traiter, tout comme l’audio d’ailleurs).

Au final, on a un second opus mieux rythmé (pas pour autant avec plus de course) avec plus d’humour, plus de personnage et un scénario plus complexe. Ca fait plaisir.

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